Elle était souriante, sereine, radieuse, avec ce sourire connu de tous les pèlerins qui, depuis 20 ans, s'approchent pour écouter le nième témoignage de ses rencontres avec la Vierge. Mais cette fois, le sourire était destiné surtout à son époux. Cet homme que la Gospa lui a donné de façon presque préparée d'avance et qui à partir d'aujourd'hui sera son compagnon dans la vie et son soutien dans sa mission, au service des messages de Marie. C'est le 26 janvier, un samedi, que la voyante Vicka a épousé, dans la paroisse Saint Jacques, Marijo Mijatovic, originaire de Sarajevo. Le mariage commencé à 14 heures a été béni par le curé Fra Branko Rados. Parmi les concélébrants, Fra Jozo Zovko, Fra Ivan Landeka. Il y avait un très grand nombre de paroissiens, d'amis, de parents rassemblés autour des deux époux, y compris Jakov, Ivanka et Mirjana, présents avec leur famille. Le curé, dans son homélie, a choisi de réfléchir sur "être sel de la terre et lumière du monde".
Images from winter times in Medugorje.
Rosary Secrets Cards with Joyful, Sorrowful and Glorious mysteries.
Folder with old images and traditional pictures of Jesus Christ.
Folder with old images and traditional pictures of Blessed Virgin Mary.
Il Messagero du mercredi, 1er juin 2005 - «"L’ouverture" de Ratzinger : Papa Wojtyla a vénéré la Madonna de Civitavecchia», d’Orazio Petrosillo
Cité de Vatican – « La Madonna de Civitavecchia fera de grandes choses » état l’auspice exprimé par Benoît XVI lors de sa salutation de l'évêque Girolamo Grillo, au terme de la rencontre de lundi avec la Conférence épiscopale Italienne. Exactement le 1er avril passé, le jour avant la mort de Jean Paul II, l'évêque de Civitavecchia a remis un dossier d'études à la Congrégation pour la Doctrine de la foi présidé par le cardinal Ratzinger. Une commission sous l'égide de la Congrégation avait émis le verdict selon lequel elle ne constate pas le caractère surnaturel de la lacrymation, ce qu’avait affirmé publiquement, pendant l’émission « Porte à porte », le cardinal Tarcisio Bertone, déjà collaborateur de Ratzinger.
Chanté, prié, déclaré. Depuis toujours l’amour est objet de l’attention de l’homme. Et même, à vrai dire, l’amour est la seule de nos recherches dont nous avons vraiment besoin. Son absence est la racine de tous les conflits: personnels, familiaux, voire mondiaux. Oui, parce que, si tout individu jouissait pleinement de la portion d’amour pour laquelle il a été créé, aucun ne prendrait la peine de s’attaquer aux autres. Il les aimerait et c’est tout!
Il y a une expression qui revient avec une fréquence tellement surprenante dans les messages de la Reine de la Paix, qu’elle ne suscite plus de particulière émotion dans les coeurs distraits de ses enfants: « Je suis avec vous !». Le Père Slavko, à qui je demandais quel était, selon lui, le message le plus important que le Ciel offrait à Medjugorje, répondait sans hésitation: « la présence spéciale de Marie parmi nous ».
Nous avons célébré depuis peu le Jubilé du Ciel, la présence de la Sainte Vierge par-mi nous depuis 25 ans. Depuis ce lointain 25 juin 1981 jusqu’à aujourd’hui une bonne partie du monde s’est rendue à Medjugorje. Quelques-uns y sont seulement passés, d’autres, les plus nombreux, après une première fois y sont revenus et reviennent sou-vent, comme à un rendez-vous d’amour dont on sent le rappel.
Désormais Medjugorje est connu en tous lieux de la terre, ne serait-ce que par ouï dire, et chaque fois qu’on y revient c’est comme boire une gorgée d’eau de source fraîche qui désaltère notre soif de Dieu, de son amour; soif innée dans notre coeur, parfois ignorée - volontairement ou non - et que nous prétendons souvent apaiser avec quelque gorgée ‘d’eau polluée.’
Tout au contraire! Mgr Paul Hnilica fut un témoin courageux dans l’Eglise, de la grâce extraordinaire qui sourd de ce lieu. Elle est célèbre sa lettre aux groupes de prière liés à Medjugorje écrite en 1997. Nous en donnons quelques passages parce qu’ils réussissent à synthétiser, de façon très éloquente la valeur de l’événement Medjugorje.
Un message insolite, non pas tant dans le contenu que dans le ton. Alors qu’en fait le contenu regarde toujours et seulement la nécessité de la conversion, du retour à Dieu, de l’abandon à Lui, du chemin sérieux, conscient, déterminé, vers la vie éternelle, le ton n’est plus celui de l’invitation mais de la remontrance. Habitués à nous entendre exhortés, sollicités, encouragés, nous sommes frappés de stupeur face à ce message qui ne contient plus, au moins explicitement, aucune invitation mais semble photographier une situation de distance entre Dieu et Marie d’une part, et nous d’autre part.